When Distributed Hash Tables Meet Chemical Programming for Autonomic Computing - Inria - Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique Accéder directement au contenu
Communication Dans Un Congrès Année : 2012

When Distributed Hash Tables Meet Chemical Programming for Autonomic Computing

Résumé

With the rise of Service Computing, applications are more and more built as temporal compositions of autonomous services, in which services are combined dynamically to satisfy constantly arriving users' requests. These applications run on top of web-based, large, unreliable, and heterogeneous platforms, in which there is a high demand for autonomic behaviours, such as self-optimisation, self-adaptation, or self-healing. Chemistry-inspired computing consists in envisioning a computation as a succession of implicitly parallel, distributed and autonomous reactions, each reaction consuming molecules of data to produce new ones, until the state ofinertia, where no more reactions are possible. This vision of acomputation makes it a promising candidate to inject autonomic behaviours in service computing. However, while the benefits of such a model are manifold, its deployment over large scale platforms remains a widely open issue. In this paper, after identifying the main obstacles towards such a deployment, we propose a peer-to-peer framework able to execute chemical specifications at large scale. It combines distributed hash tables and algorithms for the atomic capture of molecules, and proposes an efficient method for inertia detection, which is a critical problem, in particular when addressed in a large scale environment. The sustainability of the framework is established through a complete complexity analysis.
Avec la montée en puissance des architectures de services, les applications prennent de plus en plus la forme de compositions temporelles de services, dans lesquelles les services sont combinés dynamiquement pour satisfaire les requêtes des utilisateurs. Ces applications sont déployées sur des plates-formes hautement dynamiques et peu fiables, typiquement au-dessus de l'Internet. La complexité de mise-en-oeuvre d'applications au-dessus de telles plates-formes appellent des propriétés telles que l'auto-adaptation, l'auto-réparation, ou l'auto-optimisation. Les modèles de calculs inspirés par la nature, et en particulier le modèle chimique, qui envisage un calcul comme une succession de réactions entre des "molécules" de données a été identifiés comme permettant l'expression naturelle de comportements autonomes. Pourtant, alors que les bénéfices de l'expressivité d'un tel modèle semblent être maintenant établis, son déploiement sur une plate-forme distribuée à large échelle reste un problème ouvert. Dans ce papier, après avoir identifié les principales obstacles vers un tel déploiement, nous proposons un cadre architectural capable d'exécuter de façon distribuée un tel modèle. Ce cadre combine l'utilisation de tables de hachage distribué et des algorithmes pour la capture atomique des molécules, et propose une méthode efficace pour la détection de l'inertie. La viabilité du système est discutée à travers une analyse de complexité.
Fichier non déposé

Dates et versions

hal-00716065 , version 1 (09-07-2012)

Identifiants

  • HAL Id : hal-00716065 , version 1

Citer

Marko Obrovac, Cédric Tedeschi. When Distributed Hash Tables Meet Chemical Programming for Autonomic Computing. 15th International Workshop on Nature Inspired Distributed Computing (NIDisC 2012), May 2012, Shanghai, China. ⟨hal-00716065⟩
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