Les quitanderas: du plagiat à la transposition créative. Analyse de la trajectoire d'un objet culturel - Inria - Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique Accéder directement au contenu
Article Dans Une Revue Nuevo mundo Mundos Nuevos Année : 2014

Les quitanderas: du plagiat à la transposition créative. Analyse de la trajectoire d'un objet culturel

Résumé

Entre 1920 et 1930, Pedro Figari (Montevideo, 1861-1938) a peint quatre tableaux intitulés Quintanderas. La scène est toujours la même : au milieu de charrettes, des femmes, qui ont une attitude festive, reçoivent des gauchos, dansent et jouent de la guitare. Dans les années au cours desquelles apparaissent ces peintures, éclate à Paris, où Figari résidait alors, une polémique entre l'écrivain uruguayen Enrique Amorim et Adolphe de Falgairolle. Elle a pour objet une nouvelle, qui traite des " quitanderas ", sur le point d'être adaptée au théâtre pour y être présentée sur une scène parisienne. Nous interrogeant sur le sens de ce terme, d'origine africaine (plus précisément, du kimbundu) et adopté par plusieurs langues (portugais, espagnol, français), on reviendra sur la modalité de travail d'un peintre qui, comme disait de lui le poète argentin Oliverio Girondo, " fouillait dans sa mémoire " (se escarba la memoria).
Fichier non déposé

Dates et versions

hal-00984786 , version 1 (28-04-2014)

Identifiants

  • HAL Id : hal-00984786 , version 1

Citer

Edgard Vidal. Les quitanderas: du plagiat à la transposition créative. Analyse de la trajectoire d'un objet culturel. Nuevo mundo Mundos Nuevos, 2014. ⟨hal-00984786⟩
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