Beaucoup d'algorithmes d'ordonnancement ont été proposés pour fournir la garantie temps réel (m,k)-firm. Par rapport à la garantie temps réel dure traditionnelle, qui peut être considérée comme le cas de (k,k)-firm, le fait de ne plus viser que garantir m échéances parmi les k instances consécutives d'une tâche devrait intuitivement résulter à moins de demande de ressources. Dans ce document, nous avons donner une condition suffisante pour la garantie temps réel (m,k)-firm avec l'ordonnancement NP-DBP-EDF (Non Preemptive - Distance Based Priority - Earliest Deadline First). Cette condition suffisante est ensuite utilisée pour le dimensionnement de la capacité du serveur dans un modèle MIQSS (Multiple Input Queues Single Server). Nous avons également démontré que pour un système avec des valeurs de mi et ki non spécifiées (avec mi < ki, pour i = 1, 2, N qui représente le numéro de source), la condition suffisant ne peut jamais éviter de tomber dans le cas de temps réel dur. Pour aider à éviter cette situation indésirable, nous avons analysé ses causes. Nous concluons que la meilleure approche d'ordonnancement et la meilleure (m,k)-séquence doivent être donné par le serveur (ordonnanceur). Dans la procédure d'analyse de demande de capacité du serveur nous avons donné une stratégie pour rechercher la situation indésirable, ce qui peut être utilisé dans nos travaux futurs pour trouver l'ordonnancement optimal et établir un protocole de négociation de la qualité de service entre les sources et l'ordonnanceur. || For (m,k)-firm real-time guarantee a lot of specific scheduling algorithms have been proposed. Comparing to the traditional hard real-time guarantee which is equivalent to (k,k)-firm, the fact of only aiming to guarantee m out of k consecutive instances o